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Utiliser les temps du passé

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Exercice n°9

Mettez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé simple de l'indicatif.

  1. Clique ensuite sur le bouton "Vérifier".
  2. Imprime tes résultats si l'enseignant te le demande.
  3. Va chercher ta feuille à l'imprimante.
  4. Reviens devant le PC et appuie sur les touches CTRL + F5 du clavier pour relancer l'exercice, si un autre élève passe après toi.
CHAPITRE I
Descente dans le terrier du lapin

« Ma foi ! -t-elle (songer), après une chute pareille, cela me sera bien égal, quand je serai à la maison, de dégringoler dans l’escalier ! Ce qu’on va me trouver courageuse ! Ma parole, même si je (tomber) du haut du toit, je n’en parlerais à personne ! » (Supposition des plus vraisemblables, en effet.)

Plus bas, encore plus bas, toujours plus bas. Est-ce que cette chute ne finirait jamais ? « Je me demande combien de kilomètres j’ai pu parcourir ? dit-elle à haute voix. Je ne dois pas être bien loin du centre de la terre. Voyons : cela ferait une chute de six à sept mille kilomètres, du moins je le crois… (car, voyez-vous, Alice avait appris en classe pas mal de choses de ce genre, et, quoique le moment fût mal choisi pour faire parade de ses connaissances puisqu’il n’y (avoir) personne pour l’écouter, c’ (être) pourtant un bon exercice que de répéter tout cela)… Oui, cela doit être la distance exacte… mais, par exemple, je me demande à quelle latitude et à quelle longitude je me trouve ? » (Alice n’ (avoir) pas la moindre idée de ce qu’ (être) la latitude, pas plus d’ailleurs que la longitude, mais elle (juger) que c’ (être) de très jolis mots, impressionnants à prononcer.)
Bientôt, elle (recommencer) : « Je me demande si je vais traverser la terre d’un bout à l’autre ! Cela sera rudement drôle d’arriver au milieu de ces gens qui marchent la tête en bas ! On les appelle les Antipattes , je crois — (cette fois, elle (être) tout heureuse de ce qu’il n’y eût personne pour écouter, car il lui (sembler) que ce n’ (être) pas du tout le mot qu’il (falloir)) — mais, je serai alors obligée de leur demander quel est le nom du pays, bien sûr. S’il vous plaît, madame, suis-je en Nouvelle-Zélande ou en Australie ? (et elle (essayer) de faire la révérence tout en parlant — imaginez ce que peut être la révérence pendant qu’on tombe dans le vide ! Croyez-vous que vous en seriez capable ? ) Et la dame pensera que je suis une petite fille ignorante ! Non, il vaudra mieux ne rien demander ; peut-être que je verrai le nom écrit quelque part. »

Plus bas, encore plus bas, toujours plus bas. Comme il n’y avait rien d’autre à faire, Alice (se remettre) bientôt à parler. « Je vais beaucoup manquer à Dinah ce soir, j’en ai bien peur ! (Dinah était sa chatte.) J’espère qu’on pensera à lui donner sa soucoupe de lait à l’heure du thé. Ma chère Dinah, comme je voudrais t’avoir ici avec moi ! Il n’y a pas de souris dans l’air, je le crains fort, mais tu pourrais attraper une chauve-souris, et cela, vois-tu, cela ressemble beaucoup à une souris. Mais est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? Je me le demande. » A ce moment, Alice (commencer) à se sentir toute somnolente, et elle (se mettre) à répéter, comme si elle (rêver) : « Est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? Est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? » et parfois : « Est-ce que les chauves-souris mangent les chats ? » car, voyez-vous, comme elle (être) incapable de répondre à aucune des deux questions, peu importait qu’elle posât l’une ou l’autre. Elle (sentir) qu’elle s’endormait pour de bon, et elle venait de commencer à rêver qu’elle marchait avec Dinah, la main dans la patte, en lui demandant très sérieusement : « Allons, Dinah, dis-moi la vérité : as-tu jamais mangé une chauve-souris ? » quand, brusquement, patatras ! elle (atterrir) sur un tas de branchages et de feuilles mortes, et sa chute (prendre) fin.CHAPITRE I
Descente dans le terrier du lapin

Un instant plus tard, elle y (pénétrer) à son tour, sans se demander une seule fois comment diable elle pourrait bien en sortir.

Le terrier (être) d’abord creusé horizontalement comme un tunnel, puis il (présenter) une pente si brusque et si raide qu’Alice n’ (avoir) même pas le temps de songer à s’arrêter avant de se sentir tomber dans un puits apparemment très profond.

Soit que le puits fût très profond, soit que Alice tombât très lentement, elle s’ (s'apercevoir) qu’elle (avoir) le temps, tout en descendant, de regarder autour d’elle et de se demander ce qui (aller) se passer. D’abord, elle (essayer) de regarder en bas pour voir où elle (aller) arriver, mais il (faire) trop noir pour qu’elle pût rien distinguer. Ensuite, elle (examiner) les parois du puits, et (remarquer) qu’elles (être) garnies de placards et d’étagères ; par endroits, des cartes de géographie et des tableaux (se trouver) accrochés à des pitons. En passant, elle (prendre) un pot sur une étagère ; il (porter) une étiquette sur laquelle on (lire) : MARMELADE D’ORANGES, mais, à la grande déception d’Alice, il (être) vide. Elle ne (vouloir) pas le laisser tomber de peur de tuer quelqu’un et elle s’ (s'arranger) pour le poser dans un placard devant lequel elle (passer), tout en tombant.