Exercice n° 3
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Il saisit à deux mains le pauvre morceau de bois et se mit à le cogner sans pitié contre les murs de la pièce.
Puis il tendit l’oreille pour entendre les lamentations de la petite voix. Il attendit deux minutes, mais rien ne se manifesta. Il attendit cinq minutes, dix minutes : toujours rien !
– J’ai compris – dit-il en s’efforçant de rire et en se grattant la perruque – voilà la preuve que cette voix qui fait « aïe » sort tout droit de mon imagination ! Remettons-nous au travail.
Et parce qu’il avait eu très peur, il s’essaya à chantonner pour se donner un peu de courage.
Posant sa hache, il prit le rabot pour rendre bien lisse et propre le bois mais, alors qu’il rabotait, il entendit un petit rire :
– Arrête ! Tu me fais des chatouilles sur tout le corps !
Cette fois, le malheureux Maître Cerise s’effondra, comme foudroyé. Quand il rouvrit les yeux, il était assis à même le sol.
Son visage était décomposé. Une terrible peur avait changé jusqu’à la couleur de son nez qui n'était plus rouge mais bleu foncé.
Puis il tendit l’oreille pour entendre les lamentations de la petite voix. Il attendit deux minutes, mais rien ne se manifesta. Il attendit cinq minutes, dix minutes : toujours rien !
– J’ai compris – dit-il en s’efforçant de rire et en se grattant la perruque – voilà la preuve que cette voix qui fait « aïe » sort tout droit de mon imagination ! Remettons-nous au travail.
Et parce qu’il avait eu très peur, il s’essaya à chantonner pour se donner un peu de courage.
Posant sa hache, il prit le rabot pour rendre bien lisse et propre le bois mais, alors qu’il rabotait, il entendit un petit rire :
– Arrête ! Tu me fais des chatouilles sur tout le corps !
Cette fois, le malheureux Maître Cerise s’effondra, comme foudroyé. Quand il rouvrit les yeux, il était assis à même le sol.
Son visage était décomposé. Une terrible peur avait changé jusqu’à la couleur de son nez qui n'était plus rouge mais bleu foncé.
LES AVENTURES DE PINOCCHIO, Carlo Collodi, (1883) Traduction de Claude Sartirano
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